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Chapitre 3 : conclusion-analyse

Nous arrivons à la conclusion qui correspond à l'analyse distanciée au possible de mon expérience (objectiver la subjectivité sans l'éliminer) et de ce que l'on peut en extraire des motivations et buts initiaux à la création du service de livraison à vélo.

1. Le passé vu du présent

Tout d'abord précisons que par la force des choses l'étude des motivations dites "initiales" révèle davantage les valeurs auxquelles j'adhère aujourd'hui (2009) que celles qui constituaient mes motivations à l'époque de la création du service. Premièrement parce que la signification que je donne à mes actes se fait a posteriori : j'essaie de leur donner sens en les rattachant à des valeurs qui généralement sont celles que j'épouse aujourd'hui et qui conditionnent mon filtre de lecture. Ce point de vue s'accorde avec la vision constructiviste de K.Weick (Note N°1: p. 358)) présentée par Jacques Rojot qui résume ainsi : "seuls nos actes nous engagent et ils précèdent nos cognitions". Deuxièmement, l'influence des valeurs actuelles sur les motivations passées réside dans une recherche de continuité, de cohérence, d'un sens donné à mon histoire, répondant à un besoin vital chez l'Homme et qui constitue un fond anthropologique commun et universel. Pour se construire, l'identité a besoin de repères, et d'une certaine stabilité. Ce besoin est d'autant plus nécessaire que les conflits avec mes associés ont ébranlé mon identité (identité située, identité sociale et identité personnelle). L'image que je me faisait de moi-même et l'estime que je me portais ont été affectées. Ma place, ma légitimité et mes compétences avaient été remises en question dans ce que je peut appeler "le projet de ma vie". Le projet dans lequel j'ai investit ma personne et au travers duquel je désirais me réaliser.

2. Faille profonde

Ainsi se rejouait le psychodrame d'une personne souffrant du sentiment d'indifférence, de l'impression de ne pas être à sa place, de ne pas être désiré, voire de déranger. Celui qui s'arrête sur le trottoir et qui gène les passants où qu'il se mette : toujours sur le chemin d'un autre. Cette problématique remonte loin dans l'enfance et nous l'avons effleurée. Elle s'est traduite par le handicap du bégaiement qui lui même a renforcé, en concrétisant, le sentiment d'exclusion. Au collège la souffrance était telle que c'est par mon initiative uniquement que je pris rendez-vous régulièrement avec une orthophoniste. Les adultes dont les professeurs ne s'alarmaient d'un enfant silencieux en classe, ou parfois agité. Le bègue c'est aussi celui qui se tait au fond de la classe ou qui fait s'extériorise à sa façon. En troisième j'avais déjà renoncé à mon rêve en terme d'orientation. Je voulais être interprète pour voyager. Personne ne s'est rendu compte de ma désillusion et des raisons du renoncement.

Cette faille profonde dans mon identité était au coeur de la "crise existentielle" qui déboucha sur l'idée du projet. C'est en quelque sorte afin de combler l'abîme que j'avais besoin de "me sentir utile" et de "m'ouvrir toujours plus aux autres" sur un mode de relation thérapeutique typique de "l'individualisme expressif" (voire P2). Certaines motivations à la création prennent donc racine dans des problématiques psychologiques et identitaires dont on ne peut faire l'impasse pour bien comprendre la dynamique en jeu.

3. Le dilemme de la croissance

Pendant les cinq premières années du service, avant que je ne m'associe au sein d'une SARL, je me sentais utile et plongé dans une aventure humaine passionnante. J'en profite ici pour faire une dédicace à SB qui avait partagé l'aventure avec moi à partir de la seconde année. J'avais le sentiment d'avoir trouvé ma place et un sens à ma vie. Mais pour faire face au succès grandissant du service, il avait fallu embaucher et acheter du matériel. Le nombre d'employés augmenta progressivement. Si je n'avais pas répondu à la demande je risquais de laissais la place à la concurrence et de mettre en péril le service. Ceci est une réalité conforme aux règles du jeu économiques que nous consentons à reproduire. Ce que je veux dire, c'est que les règles du jeu n'ont rien d'absolue. Darwin, contrairement à ce qu'en ont retenu le néodarwinisme et le darwinisme social, insistait autant sur la coopération que sur la concurrence dans la nature. Nous nous focalisons sur la concurrence et ignorons la coopération. Je me retrouvais face à un dilemme : d'un côté l'évolution du service satisfaisait mon égo et répondait à la motivation de se sentir utile et de lutter contre la pollution ; de l'autre je perdais en liberté et l'organisation devenait une entité séparée de son fondateur.

En terme de rentabilité, une règle économique qui semble communément acceptée et non remise en question, veut que pour réussir il faut soit resté petit, soit grandir considérablement. Mais la taille intermédiaire serait catastrophique. FC me le répétait souvent. La taille étant relative, il est difficile de savoir où se situer sur l'échelle.

4. Buts du dirigeant et buts de l'organisation

La taille d'une organisation n'est pas sans conséquences sur le management et la gérance de celle-ci. Les processus de prise de décision s'en trouvent modifiés. D'après Cyert et March : "Les organisations sont définies comme des coalitions d'individus dont certaines sont organisées en sous coalitions et dont les frontières d'individus sont fluctuantes, dans le temps et fonctionnellement". (Note N°2 : p. 178) Les coalitions entrent en négociation, dans des rapports de pouvoir et d'influence, pour peser sur la prise de décision. Bien entendu le choix des décisions est en relation avec les buts ou motivations des membres de l'organisation que chacun essaie d'exprimer. Les buts du dirigeant ne se confondent pas avec les buts d'une organisation, et une organisation n'a pas besoin pour fonctionner que les buts de ses membres soient les mêmes.

En fait, l'équivalent des buts d'une organisation est constitué des buts que s'est assignée une coalition qui se trouve dans une position majoritaire ou dominante. Cette approche de l'organisation est contraire à sa réification et rejoint sur ce point la vision de Weick qui préfère se pencher sur "l'action d'organiser" (organizing). Certes l'organisation agit dans le sens où elle impose des formes d'actions qui se produisent et se reproduisent indépendamment des individus impliqués. Mais ses membres ont une part de liberté puisqu'ils disposent d'un répertoire de réponses dans le contexte organisationnel. Il semble que la petite taille et la jeunesse de Cyclotransport réduisent fortement l'existence et l'influence de formes d'actions, et ce faisant l'expose davantage aux divergences de ses membres. Il me semble que la sensibilité aux divergences s'accroît inversement avec la taille de l'organisation. En effet, les formes d'action confèrent une certaine stabilité qui cadre les variations comportementales et permet la reproduction de l'organisation. Il semble également que le fait que mes associés soient en même temps salariés ait accentué le poids des divergences et fragilisé la stabilité de l'entreprise. Car appartenir à la fois au corps dirigeant où l'on peut manifester ses désaccords, et devoir se soumettre quotidiennement à l'autorité du gérant en tant que salarié, peut plonger l'individu dans des logiques contradictoires et générer des tensions entre les membres. L'essentiel pour maintenir une cohésion ou une convergence dans l'action malgré des motivations ou buts divergents réside dans l'équilibre entre incitations et rétributions (dont le salaire) de chacun. Autrement dit, il faut s'arranger pour chacun trouve son compte. Mais comment faire lorsque les buts sont antinomiques, s'opposent entre associés ? Passé le regret de ne pas l'avoir su avant de s'associer, et d'en faire un critère de sélection, il s'agit désormais de gérer les divergences profondes de vision du monde et de valeurs entre associés.

5. "L'individualisme expressif" ou "monde de l'inspiration"

"Chacun est responsable de soi" est une qualité valorisée par "l'individualisme expressif" dont nous avons vu qu'elle correspondait a une "compréhension morale" ou filtre de lecture. L' introspection a le mérite de mettre en évidence que cette qualité "idéal-typique" (au sens de Max Weber) semble être le paradigme à la source duquel puisent les motivations et les valeurs qui ont inspiré ma démarche de création. La création de "mon propre emploi". J'ai pris mon avenir en main comme on dit communément. J'ai pris mon devenir en charge. Se sentir responsable de soi, vouloir échapper à toute autorité hiérarchique dans le travail par désir d'indépendance ou d'autonomie, rechercher l'accomplissement personnel et le prestige dans le travail, prendre des risques, rejeter les normes en créant un service original et réaliser un rêve, sont autant de points de vue qui me rattachent à ce modèle appelé aussi "monde de l'inspiration". Croire et accorder de la valeur à l'idée que "chacun est responsable de soi" sous-entend la croyance en la possibilité de se construire soi-même et rejoint ainsi la formulation d'André Gorz : "L'homme est un être qui a à se faire ce qu'il est". "Devenir ce que l'on est" implique l'existence d'une authenticité" chez chacun d'entre nous et d'un pouvoir de résistance au holisme social ou à la sur-socialisation. Autrement dit, nous ne nous contentons pas d'être de simples produits de notre environnement : nous en sommes aussi les constructeurs rationnels et nous nous y déplaçons avec une marge d'autonomie.

6. La compréhension de mes associés

Je situerais GG dans la catégorie "marchand" et "l'individualisme utilitaire". BF dans la catégorie "domestique" et "l'individualisme utilitaire". Quant à FC, il semble se rapprocher de la catégorie "domestique" et "civique" de l'économie des conventions (voire P2) et "civique-républicain". Il a d'ailleurs une formation de juriste et s'est engagé en politique. FC me considérait comme un "leader" mais tous me voyaient comme un associatif au sens péjoratif du terme. Je pense particulièrement que GG et BF, conformément à leur "individualisme utilitaire" croyaient en une sorte de darwinisme social (néo-darwinisme) au rouleau compresseur duquel je ne pouvais échapper, dans le monde hyper concurrentiel de l'entreprise.

C'est aussi à cela que me sert l'introspection : tenter de comprendre les raisons ou "bonnes raisons" des associés. La démarche est un principe méthodologique qui part du postulat que les acteurs agissent en fonction de "raisons" et pas uniquement de causes extérieure inconscientes. Il s'agit alors de travailler à mettre en lumière leur "rationalité subjective". Dans la situation qui était la leur, chacun des associés avait de "bonnes raisons" de croire que je n'étais pas à ma place en tant que gérant d'une entreprise. Avoir de "bonnes raisons" ne signifie pas qu'elles soient objectives, mais juste qu'elles apparaissent pertinentes aux acteurs sociaux qu'ils sont. Dans la mesure où je n'ai pu m'entretenir avec eux dans le cadre de cette étude, j'avance des hypothèses en fonction des éléments en ma possession. BF et GG avaient de "bonnes raisons" de considérer que je n'étais pas apte à tenir mon rôle et ma place ; et de souhaiter mon départ, quitte à le provoquer ; car ils croient en un darwinisme social et qu'ils ont de "bonnes raisons d'y croire". Le système économique capitaliste actuel ne fonctionne-t-il pas sur ce paradigme ? Raymond Boudon parlerait de "rationalité cognitive" pour décrire ce cas spécifique où l'action se fonde sur la croyance en la vérité d'une théorie. (Note N°3 : pp. 403-407)

Un événement significatif sur l'utilitarisme de BF mérite d'être mentionné ici. Ce dernier aimait m'envoyer des messages indirectement. Il parlait dans le local à un employé en lui disant à haute voix, sachant que j'étais présent, qu'il pourrait aussi bien vendre des programmes du Front National, que de faire ce qu'il fait chez Cyclotransport. Ce qui signifie qu'il n'y avait pas de valeurs autres qu'utilitaristes qui motivaient son investissement dans la société de livraison à vélo. La finalité morale ou éthique, n'a aucune importance. Seul compte le salaire, l'appât du gain. Pour autant, cela ne signifie pas qu'il ne croient en rien puisque tout se passe comme son attitude prenait racine en la croyance au darwinisme sociale. Et même une croyance peut être rationnelle.

Le tableau suivant illustre la manière dont mes associés étaient susceptibles de me voir au travers du monde auquel ils appartenaient et vis versa. (Note N°4 : p. 289)

Comment voit-on l'autre au travers de son monde
Mondes Inspiration(moi) Domestique (BF) Civique (FC) Marchand (GG/BF)
Inspiration (moi) - Frein, contrainte Inhumain Esclave des intérêts
Domestique (BF) Désordonné, brouillon -    
Civique (FC) Brouillon      
Marchand (GG/BF) Manque de sang-froid      

 

7. Culpabilisation liée au "travail"

En tant que membre ou acteur social situé dans un environnement (au sens large), je suis plus ou moins paramétré. Ainsi le décalage de ma vision de la notion de travail avec la vision dominante (normale) a suscité chez moi un fort sentiment de culpabilité. Laquelle culpabilité était d'autant plus criante que j'étais confronté à la fois à la dimension pratique et idéologique.

Face à l'adversité, au manque de confiance en soi, à la sensation de ne pas être à ma place et de ne pouvoir répondre aux attentes des associés. Face au fait de ne pas avoir le profil-type du manager, au fait de m'effacer pour laisser la place aux associés conformément à mes valeurs de partage équitable du pouvoir et de la conception travail-épanouissement, Face à toutes ces obstacles, je me suis consacré essentiellement au travail de livreur à vélo, jouant ainsi le jeu des associés qui consistait à restreindre mes prérogatives et mes compétences afin de justifier par la suite mon départ, au mieux mon effacement.

Mes associés semblaient refuser mon côté généraliste et touche-à-tout, qui paradoxalement est une dimension nécessaire du gérant et leader, de celui qui oriente le navire. Si bien que déléguer une partie des tâches était perçu par eux comme une preuve d'incompétence (assimilée à la spécialisation). La posture généraliste et multiple qui était la mienne collait avec ma perception "totale" ou "épanouissante" du travail. La multiplicité des tâches et des domaines du travail me semble en effet plus épanouissante et enrichissante qu'une spécialisation, d'autant plus que la livraison est un métier stressant et potentiellement dangereux. Cette vision du travail je voulais l'appliquer à tous et c'est pour cela que je souscrivais à ce que chacun des associés aient une partie livraison à son actif.

En m'associant en 2007 j'espérais pouvoir lever un peu le pied de la pédale, au sens large du terme, et pas seulement en matière de livraison. j'aspirais à revaloriser ma vie privée. Autant on peut le comprendre en théorie, autant dans la pratique ceci est perçu comme un désengagement. il me fallait alors, pour faire face aux reproches, travailler d'arrache-pied encore et encore, comme pour justifier ma présence dans l'aventure!

8. Pour finir

Je pense avoir appris beaucoup sur le terrain. Aujourd'hui (2014), cela fait 12 ans que je travaille en tant que livreur à vélo à Toulouse. Je tiens particulièrement à ma différence, à ce qui fait ma spécificité. Je refuse d'entrer dans le cadre ou le moule du manager type parce que je considère que l'espoir du changement positif réside dans la possibilité des individus hors cadre, hors champs, hors pensée unique (comme on dit un peut trop souvent) d'être là où ne les attend pas, où on ne les veut pas. Ma problématique et faille profonde se résout ainsi par une affirmation catégorique envers et contre tous : "Là où je suis, où je veux être, sera ma place . Personne n'a à me dicter ce que doit être ma vie, mon rôle, ma place."

9. Perdus de vue ?

Les deux employés téléguidés par GG ont fermé leur société de course à vélo au bout de ...six mois. Ils étaient trois et semblent ne pas s'être entendus. Les donneurs de leçon ont pris une leçon et c'est tant mieux pour leur évolution et leur humilité.

Les trois associés sont toujours associés mais sont passés de l'omniprésence agressive à la douce absence. Je re-travaille en solo, comme à mes début mais plus cool, en mode slow délivery. je n'ai pas la prétention de m'agrandir et de guider les autres ou de créer de l'emploi. Mon small is beautiful me convient. Je suis un artisan en quelque sorte. C'est déjà énorme de s'occuper de soi-même et de le faire bien. Le service, sans regret ni aucune culpabilité, est une extension de moi et il a toujours été ainsi dès sa création. Mon défaut est de m'être un moment laissé emporté par le courant idéologique économique qui veut que naturellement il faut s'agrandir, embaucher, etc.

Je ne vois que FC une fois l'an à l'occasion de l'Assemblée Générale dont j'ai pris soin qu'elle ait lieu chez le comptable. Je ne souhaite en effet plus me retrouver seul face à ces gens là. GG s'était rapidement trouver un emploi chez un concurrent parisien, alors même que le verdict final des prud'hommes ne fût prononcé. Cette situation d'avoir un associé chez un concurrent est très particulière mais ne me dérange pas vraiment étant donné ma manière de vivre mon activité. Ce concurrent annonce sa venue sur Toulouse depuis plusieurs années. BF brille par son absence et son silence et je lui en suis gré de continuer dans cette voie là. Il n'a pas communiqué son adresse pour recevoir l'invitation à l'AG.

Pourquoi restent-ils tous associés malgré les désaccords profonds ? Plusieurs options me viennent à l'esprit :

- jouer le rôle d'une épée de Damoclès, faire les nuisibles

- espérer mon départ, mon abandon, pour reprendre la société en main à leur manière

- espérer un rachat de leurs parts conséquents

10. A suivre ?

Bien d'autres sujets n'ont pas été abordés. Par exemple ma position sur les véhicules électriques. Contrairement à mes associés, je ne souhaitais pas développer la flotte de véhicule par des petites camionnettes électriques. Ici aussi, je pensais en terme de cohérence environnementale prioritairement, quand eux suivaient davantage la mode en miroitant essentiellement les intérêts financiers. Aujourd'hui les études de l'ADEME montrent que le tout électrique est plus polluant que les véhicules à essence. Sauf qu'on délocalise la pollution loin de chez nous. Sauf que l'électrique sonne "innovation" et que l'"innovation" est un mot magique qui, du simple fait de le prononcer, devrait d'après les croyances, résoudre tous nos problèmes. Tandis que la décroissance et la sobriété volontaire serait une idéologie de bisounours irresponsable et irréaliste !

L'introspection se poursuivra sur ce blog. Merci de l'avoir suivi.

Dédicace à AP que j'avais embauché lors de mon hospitalisation et ma rééducation. Certes il a coûté cher relativement aux moyens de la société, mais il a fait son travail comme il faut. Merci pour son travail. Merci aussi à Anne et à Tristan qui ont dû partir sur des malentendus mais contre lesquels je n'ai aucun grief. Merci à Olivier et tous les employés qui sont passés, même les plus difficiles qui se reconnaîtront. Une petite phrase codée en cadeau pour qui comprendra : i will go cyclable ! Chacun a participé à son humble niveau, néanmoins physique et difficile, à réduire la pollution, à montrer que des alternatives étaient possibles. Ils ont servis la collectivité et la collectivité leur doit bien une reconnaissance. Vive la Vélorution !

Bibliographie

Note N°1 : Weick.K, The social psychology of organizing, Random House, New York, 1979, (2° Ed.) in Théorie des organisations, Jacques Rojot, Ed ESKA, 2003

Note N°2 : Cyert R-M and J.C. March, A behavioral theory of the firm, Englewoord Cliffs, N.J., Prentice Hall Inc., 1963

Note N°3 : Raymnd Boudon, L'art de se persuader des idées douteuses, fragiles ou fausses, Essais, Fayard, 1990

Note N°4 : Jacques Rojot, Théorie des organisations, Ed ESKA, 2003

Photo de FC alias "ventre mou"

Photo de FC alias "ventre mou"

Tag(s) : #Introspection, #Cyclotransport, #conclusion, #rationalité, #individualisme méthodologique, #Boudon, #Weber
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